Anaïs Constans
Originaire de Montauban, Anaïs Constans aborde le chant auprès de Béatrice Viliare et Claudine Ducret, puis poursuit ses études au CRR de Toulouse et au CNIPAL de Marseille. Elle se perfectionne auprès de Claudine Ducret, Jean-Marc Bouget et Nino Pavlenichvili.
En 2012, elle reçoit le Premier Prix Mélodie Française et le Deuxième Prix Opéra au Concours International de Marmande et le Troisième Grand Prix Femme et le Prix du Public au Concours International de Toulouse. Elle remporte par ailleurs en 2013 le Premier Prix et le Prix Jeune Espoir au Concours International de Mâcon, et en 2014 le Troisième Prix au Concours International Operalia ainsi que le Troisième Prix ex-aequo du Concours International Montserrat Caballe.
Dès lors, sa carrière se développe et elle est engagée comme soliste dans de nombreux oratorios, notamment les Stabat Mater de Dvořak et Pergolèse, le Magnificat de Rutter, l’Oratorio de l’Ascension de Bach, Les Dernières Paroles du Christ de Dubois, La Petite Messe solennelle de Rossini, le Gloria de Poulenc, le Magnificat de Vivaldi, The Mass Of Children de Rutter, Carmina burana d’Orff, Myrjam’s Siegesgesänge de Schubert, La Messe de l’homme armé de Jenckins, La Messe du Couronnement de Mozart, La Création de Haydn.
À l’opéra, on peut notamment l’entendre dans Orphée aux Enfers et La Belle Hélène sous la direction de Jean-Christophe Keck, La Chartreuse de Parme de Sauguet (direction Lawrence Foster et mise en scène de Renée Auphan) l’Opéra de Marseille, Lakmé (Miss Ellen) à Saint-Etienne (direction Laurent Campellone), La Vie Parisienne (Pauline) à Toulon, I Due Foscari (Pisana) au Théâtre du Capitole à Toulouse, La Bohème (Musetta) au Festival de Gattières, Don Carlo (la Voix céleste) au Grand Théâtre de Bordeaux, Orphée aux Enfers (Diane) à l’Opéra de Nancy…
Source : Opéra de Paris